La géographe explique que ce qui se passe aujourd’hui, c’est une « renaturation » toute aussi fabriquée et interventionniste que la précédente, mais qui conduit à remplacer l’activité productive par de l’argent public.
Dans une récente tribune, la géographe Sylvie Brunel s’en prenait aux opposants de l’agriculture productiviste. Mais, dans son empressement, elle choisit de passer sous silence les méfaits sociaux et environnementaux de ce modèle de développement.
Dans une tribune au « Monde », la géographe estime que le ministre se heurte au principe de réalité. A chaque fois qu’il s’est indigné de la situation écologique, les deux têtes de l’exécutif le lui ont rappelé en privé.
En Afrique, les champs de l’espoir (1). Selon la géographe, les Etats peuvent lutter contre la précarité rurale en favorisant la création de groupements de producteurs, de coopératives et de syndicats.