La chaleur apparue tôt dans la saison a contribué à la dissémination d'une très grande quantité de pollens de graminées, favorisant ainsi les allergies au pollen.
Qualifiée de violente, la vague d'allergies au pollen de ces dernières semaines cache une lame de fond plus préoccupante encore, préviennent deux allergologues.
Les conditions météo déterminent en grande partie la libération des pollens allergisants dans l'air. Mais avec le réchauffement climatique, le risque est désormais bien plus fort, non seulement en raison de la présence persistante des anticyclones, mais aussi de la pollution.
Depuis deux semaines, le risque allergique est maximal. Comme chaque année, à la même période, la menace provient des pollens de graminées, responsables de plus de 75% des allergies polliniques.