Une réplique en plastique de grand-duc, le principal prédateur des goélands, dans une main et un mégaphone diffusant le cri d'alerte de ces oiseaux dans l'autre, deux agents de la société Sacpa, mandatée...
Face au fléau des goélands, les habitants de Scarborough, dans le Yorkshire en Angleterre, percevront 2 000 livres, soit 2 230 euros, pour faire fuir cette espèce d’oiseaux marins.
Les goélands désertent de plus en plus les littoraux pour les milieux urbains, suscitant souvent l’exaspération des riverains. Pourtant, ces oiseaux marins dotés d’une forte capacité d’adaptation n’ont jamais connu un déclin aussi net de leur population.
Qui est «sans-gêne», «envahissant», «agressif» et empoisonne le quotidien de certains Marseillais ? Le goéland leucophée, appelé «gabian» en occitan. Le gros volatile marin, dans le collimateur des autorités...