La lutte contre la pollution de l'air est incohérente. Trois axes d'amélioration sont proposés : miser sur des stratégies locales, appliquer le principe "pollueur-payeur" et coordonner les politiques climat et lutte contre la pollution de l'air.
Un référé de la Cour des comptes relatif à l'Anah critique l'absence de contrat d'objectifs depuis trois ans, des programmes dont l'efficacité est insuffisamment évaluée et des finances menacées par les fluctuations du prix des quotas de CO2.
En dépit de trois versions successives et des 400 millions d’euros engagés, les plans Ecophyto se sont soldés par une augmentation des quantités de produits chimiques utilisées.