Cet anticorps monoclonal doit protéger les nouveau-nés des formes graves de la maladie, et soulager les soins intensifs pédiatriques mis à rude épreuve chaque hiver.
Les trois infections respiratoires aiguës ont provoqué moins de dégâts que l’an dernier. Le «vaccin» contre la bronchiolite (Beyfortus) est peut-être à l’origine de cette amélioration.
Pour la première fois cette année, une protection a été proposée pour les jeunes enfants contre la maladie. Si le nombre de doses de Beyfortus s'est vite avéré insuffisant, son efficacité a permis d'éviter un pic très élevé dans les services de soin intensif.