La perte de l'odorat semble être liée à une atteinte de l'épithélium olfactif. Mais le virus pourrait également pénétrer par le nez pour atteindre le cerveau et engendrer des troubles plus durables.
Les atteintes graves restent rares. En revanche, 10 à 20% d'anciens malades se plaignent de toux ou d'essoufflement. Ils doivent réapprendre à respirer.