Editorial. Derrière un langage martial, le présidentMacron, dans sa deuxième allocution sur le coronavirus, a continué de faire appel à la responsabilité individuelle des Français. Une course de vitesse est engagée contre la maladie et la mort.
Yann Arthus-Bertrand a eu l’idée de les retrouver. Prise de conscience, vies chamboulées, engagements… Des récits à la force de conviction communicative.
Ce n'est pas parce que la prise de conscience de l'effondrement de la biodiversité progresse dans l'opinion que des résultats positifs se font pour autant ressortir. C'est ce qui ressort du bilan 2020 de l'Observatoire national de la biodiversité ...
Editorial. En France, la prise de conscience de la gravité de l’épidémie de Covid-19 est poussive. Cela retarde l’indispensable responsabilisation de chacun dans la lutte contre le virus.
Le succès de l’expression « prise de conscience » repose sur une fausse évidence : la crise environnementale serait due à un manque qu’il faudrait combler et non à un ordre économique à réformer, explique l’historien Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique au « Monde ».