L’Organisation mondiale de la santé mène une mission d’évaluation de l’activité du virus qui se répand notamment à Kinshasa et dans l’est de la République démocratique du Congo.
En un an, le nombre de cas de variole du singe a triplé en République démocratique du Congo. Le virus y a causé 300 décès depuis le début de l’année, notamment dans l’Est.
Le nombre de décès dû à des hémorragies lors d’accouchements a été divisé par deux en dix ans. Cependant, plus de la moitié de ces décès auraient encore pu être évités.