Les obèses ont dans le sang des immunoglobulines qui viennent protéger l'hormone de la faim, la ghréline. Celle-ci peut ainsi agir plus longuement sur le cerveau pour stimuler l'appétit.
L’autorité américaine des médicaments, la Food and Drug Administration (FDA), a donné son feu vert mercredi à la commercialisation d’un implant pour traiter l’obésité, qui agit sur des nerfs contrôlant l’appétit.
Une chirurgie bariatrique (anneau gastrique, bypass, gastrectomie, etc.) entraîne au niveau des spermatozoïdes des changements dans le fonctionnement de certains gènes, dont ceux liés au contrôle de l'appétit.
La Ligue contre l’obésité publie mercredi une enquête de prévalence nationale et s’inquiète de la hausse notable de la part des Français touchés par une obésité massive.