Pour l’économiste britannique, le protocole de Kyoto, signé en 1997 pour obliger les pays industrialisés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, n’est qu’un tigre de papier.
Il existe un véritable « fossé » entre les engagements des États et ce qu’il faudrait faire pour éviter de bouleverser profondément le climat de la planète, affirme le réputé économiste britannique Nicholas Stern.
Les politiques de relance respectueuses du climat profitent non seulement à l'économie, mais également à l'écologie, relève une étude de l'Université d'Oxford, signée entre autres par Joseph Stiglitz et Nicholas Stern.
À l'image de Nicolas Stern qui estima à 5.500 milliards d'euros le coût de l'inaction face au réchauffement climatique, la Commission mondiale sur l'économie et le climat éclaire sur de nouveaux enjeux financiers. Détails avec l'avocate Corine Lep...
La mise en place d'un prix carbone fort dès maintenant est nécessaire pour réorienter les comportements des acteurs économiques en vue de respecter l'Accord de Paris sur le climat, estime une mission dirigée par Joseph Stiglitz et Nicholas Stern.