«Fukushima bis», «l'accident qu'on nous cache», «un danger pour l'Europe». Les réseaux sociaux bruissent de messages alarmistes rapprochant deux informations. D'une part, la survenue fin octobre d'un incident...
A la croisée de la radioprotection des travailleurs, de l'amélioration de la transparence et de la volonté de certains Etats-membres de "fluidifier" le transport de matières radioactives en Europe, le rapport Kovács favorise leur banalisation.
Des incendies ont été signalés autour de la centrale laissant craindre une hausse de particules radioactives liée aux fumées. La situation est bien moins grave qu'en 2020.
Chaque année, 777.000 transports de substances radioactives sont réalisés en France, révèle une enquête de l'ASN. La Criirad, qui juge ce chiffre sous-estimé, demande plus de transparence.
Du Nord au sud de l'Europe, l'air est saturé de particules fines. Le constat, toujours alarmant, n'est pas un scoop mais l'enquête du quotidien anglais The Gardian, a le mérite de pointer les zones plus touchées par la pollution de l'air qui sont, là encore sans surprise, les régions...