Les invasions écologiques sont le revers de la médaille de la mondialisation. Mais quelles sont les espèces concernées et, surtout, combien sont-elles ?
L'introduction accidentelle ou volontaire d'espèces sur des îles peut causer d'importants dégâts aux espèces indigènes. Une étude sur la faune de Madagascar montre que les arrivées clandestines ne sont pas les seules à porter préjudice aux espèces natives de l'île...
Pour une région donnée, le nombre d’espèces natives européennes adaptées dès à présent et jusqu’à 2100 va se réduire fortement, selon une étude publiée lundi. Le changement climatique présente un défi complexe pour les écosystèmes forestiers.
Pour certains, les « brumbies », importés par les premiers colons, représentent des icônes nationales. Pour d’autres, ils ne sont qu’une espèce invasive de plus qui doit être strictement contrôlée pour protéger les espèces natives.
Les espèces de passereaux natives de l’archipel sont victimes de moustiques porteurs du paludisme, qui, à la faveur du réchauffement, atteignent les hautes altitudes où les oiseaux avaient trouvé refuge. Pour les sauver, le recours à la biologie synthétique est envisagé.