Editorial. En quittant l’accord de Paris, les Etats-Unis de Donald Trump fuient la bataille pour le climat. Et révèlent peut-être l’une de ces évolutions qui font que le XXIe siècle ne sera pas « américain », comme l’a été le XXe.
Selon une étude publiée mardi 10 octobre, le changement climatique d’origine humaine « rend la récente chaleur en Amérique du Sud au moins 100 fois plus probable » que dans un climat préindustriel.
En annonçant que l’échéance des 50% de nucléaire en 2025 n’était pas tenable, le ministre pratique-t-il le pragmatisme ou la reculade ? Les experts sont partagés.
Edwin Vasquez et Candido Mezua, représentants des habitants des forêts d’Amérique du Sud, alertent le président français sur l’importance du maintien de populations en Amazonie comme moyen de protéger cet écosystème.