« Il n’y a personne sur cette planète qui ne veut pas aller vers plus d’écologie, mais on nous avait promis une transition juste. Et tout ceci est si soudain », a déclaré un travailleur fils et petit-fils de sidérurgistes sur la BBC.
Des centaines d'activistes de l'ONG Greenpeace ont forcé samedi 24 juin les barrières d'un site de production du géant de l'acier Tata Steel à Velsen près d'Amsterdam, afin d'y manifester. Greenpeace exige que les parties les plus toxiques de Tata Steel soient fermées.
Les manifestants ont bravé un interdit municipal pour demander la fermeture du site, jugé polluant et dangereux, et faisant déjà l’objet d’une enquête des autorités néerlandaises.
Les 420 salariés de l’usine British Steel d’Hayange, en Moselle, ne sont pas directement concernés par la faillite de leur maison mère au Royaume-Uni. Mais ils craignent de ne plus être alimentés en matière première pour produire des rails.