Le rapport de la commission Royal sur les émissions polluantes publié fin juillet aurait omis des éléments concernant le constructeur automobile, avance le quotidien britannique.
Sous le coup d’accusations du « Financial Times », le constructeur se défend d’avoir triché. Le ministère de l’environnement reconnaît des maladresses.
Nouveau coup de tonnerre dans le scandale du diesel ! Selon le Financial Times, la commission Royal aurait volontairement omis d’intégrer certains éléments compromettants pour Renault dans son rapport publié fin juillet.
Selon le "Financial Times", des informations gênantes sur le constructeur automobile français auraient été omises dans le rapport de la commission d'enquête sur les émissions de polluants.
L'Etat protégerait Renault, sous-entendent des membres de la commission de contrôle des émissions polluantes. Certains tests font apparaître des écarts d'émission d'oxydes d'azote trop importants. Le calibrage du piège à NOx est pointé du doigt.