Plus de 8000 morts en excès ont été dénombrés depuis début décembre, mais impossible à ce stade de préciser la responsabilité de la grippe, précise les autoritéssanitaires qui ont diffusé leurs données hebdomadaires.
Une étude publiée lundi dans la revue « Environmental Research Letters » estime que les excès d’oxydes d’azote sont à l’origine de 5 000 morts prématurées.
Le virus était en grande partie responsable début janvier d’une surmortalité de 8 100 personnes, majoritairement les plus âgées, et l’épisode grippal n’est pas terminé.