« La majorité des algorithmes échappent à un contrôle minimal, alors que leur pouvoir potentiel sur l’exercice même de la démocratie est immense »
Le Monde, le
22/06 à 00h56
Dans sa chronique, Stéphane Foucart relève l’asymétrie frappante entre, d’une part, la chimie de synthèse, soumise à la régulation des pouvoirs publics, et d’autre part, l’algorithmique, pour qui une réglementation reste à écrire.
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