Les commotions cérébrales à répétition dans le cadre d’une activité sportive ne conduisent pas automatiquement à une dégénérescence neurologique, estiment des chercheurs canadiens à partir de l’autopsie de 20 cerveaux d’anciens athlètes.
Quelque 43% des retraités de la Ligue nationale de football américain (NFL) montrent des signes de commotions cérébrales, révèle une étude publiée lundi et qui renforce les inquiétudes concernant les chocs violents auxquels sont soumis les joueurs de ce sport roi aux États-Unis.
AVIS D'EXPERT - Éloi Marijon, du Centre de recherche cardio-vasculaire (Inserm), met en garde contre les crises cardiaques soudaines liées au sport, même à faible intensité.