Amortir autant que possible les 56 réacteurs existants – 37 ans révolus en moyenne d’âge – s’inscrit dans la stratégie d’EDF. C’est au plus tard en 2026 que l’Autorité de sûreté nucléaire espère se prononcer sur le principe ou non d’une éventuelle prolongation au-delà de six décennies.