Une nouvelle étude du CNRS effectuée sur des fleurs près de Paris montre une évolution d'adaptation surprenante : pour faire face au manque d'insectes, les plantes sauvages commencent à s'auto-polliniser.
Le café aurait un effet sur la mémoire des bourdons, les poussant dans les pétales d'une fleur plutôt que d'une autre. Ce qui pourrait servir aux producteurs de fraises !
Les bourdons possèdent une technique secrète pour faire fleurir les plantes qu'ils pollinisent. Ce comportement jamais documenté auparavant est décrit dans Science.
En dégradant les odeurs émises par les plantes, l'ozone pourrait rendre difficile le travail des insectes pollinisateurs qui s'en servent pour se guider vers les fleurs.
En réponse probable à la forte baisse du nombre d’insectes pollinisateurs, une petite fleur sauvage s’est adaptée en produisant moins de nectar, attirant moins ces insectes. Ce qui pourrait aggraver leur chute.