Depuis le 2 octobre, l’exploitant Tepco accepte les demandes d’indemnisation émanant notamment du secteur de la pêche, dont l’image est particulièrement touchée par le rejet de l’eau traitée et diluée de la centrale nucléaire.
De nombreuses personnes, au Japon, en Chine et en Corée du Sud, ont fait part publiquement de leurs craintes à la suite de la décision de déverser les eaux usées de la centrale nucléaire de Fukushima dans l’océan Pacifique.
L’opérateur Tepco a annoncé le dispositif imaginé pour rejet les 1,27 million de tonnes d’eau contaminé loin des côtes de Fukushima. La construction commencera en mars prochain.
Après des mois d’une campagne contre ce projet de rejet, les réactions oscillent entre colère contre le Japon et inquiétude des citoyens chinois pour leur santé.
Le gouvernement japonais a fini par tranché après six ans de débat : l'eau pompée, stockée et traitée de la centrale Fukushima Daiichi, va être progressivement rejetée en mer. « Cette décision ne tient absolument pas compte des droits de l'homme ...