L'agence de météorologie russe a reconnu qu'une concentration inhabituelle de ruthénium 106 avait été détectée fin septembre dans plusieurs régions de Russie. Celle-ci proviendrait d'un site de retraitement des combustibles nucléaires.
Jean-Christophe Gariel, directeur de la santé à l'IRSN, s'étonne des données communiquées par la Russie sur la fuite de ruthénium-106 détectée fin septembre.
Une pollution radioactive a été détectée en Europe à la fin du mois de septembre. D’après l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) français, elle proviendrait d’une zone située entre la Volga et l'Oural, mais les autorités russes nient toute responsabilité.
L’agence russe de météorologie Rosguidromet a reconnu lundi qu’une concentration « extrêmement élevée » de ruthénium-106 avait été détectée fin septembre dans plusieurs régions de Russie, confirmant les...