La découverte par une chercheuse française de séquences génétiques inédites sur la base de données de la Gisaid relance le débat sur le rôle d’hôtes animaux intermédiaires dans l’émergence du SARS-CoV-2.
Des données inédites suggèrent la présence de traces génétiques du SARS-CoV-2, de chiens viverrins, de civettes et d’autres mammifères dans le marché de Wuhan, potentiel épicentre de la pandémie.
Deux nouvelles études concluent que la pandémie a commencé sur le marché de la ville de Wuhan, pointant ainsi vers une très probable origine animale du virus. Mais la traque des origines ne s'arrête pas pour autant.
Le texte de loi vise à obtenir la communication de « toute information sur les liens potentiels entre l’institut de virologie de Wuhan et l’origine du coronavirus ».
L’homme, non vacciné contre le Covid, est âgé de 50 à 60 ans et ne présentait pas de symptômes au moment du test, selon l’agence régionale de santé (ARS).