La moitié des molécules testées lors d’essais cliniques ne sont jamais mises sur le marché, et 60% de ces échecs ne donnent jamais lieu à publication. Une perte d’informations regrettable, voire risquée pour les volontaires de futurs essais. Des chercheurs en viennent à créer des revues pour valoriser les «résultats négatifs» de la science.