Selon un programme de surveillance climatique régional, 23 millions de personnes sont en « insécurité alimentaire aiguë » au Kenya, en Ethiopie et en Somalie.
Une équipe de scientifiques contredit l’ONU, qui avait fait du réchauffement la principale cause de la sécheresse et de la famine frappant le sud de l’île.
Cette hausse, conséquence de la guerre en Ukraine, intervient alors que plus de 1,7 million d’enfants souffrent de malnutrition aiguë au Kenya, en Ethiopie et en Somalie.