Dès le XVᵉ siècle, les conséquences des activités humaines sur le climat suscitent des débats. Et aux XVIIIᵉ et XIXᵉ siècles, les savants et le grand public se passionnent pour « le temps qu’il fait » et les prévisions météorologiques, expliquent les historiens Jean-Baptiste Fressoz et Fabien Locher.