Une semaine après le cataclysme le plus destructeur de l’histoire récente du Mozambique, les quelque 380 000 sinistrés recensés représentent désormais autant de bouches à nourrir d’urgence.
L’agglomération de 500 000 habitants est coupée du monde depuis le passage d’Idai, vendredi 15 mars.
La deuxième ville du pays, Beira, a été "endommagée ou détruite à 90%", rapporte la Croix-Rouge.
Le président, Filipe Nyusi, a déclaré, lundi 18 mars, qu’il pourrait y avoir un millier de morts dans le pays.
Au-delà de la fragilité du pays, la catastrophe déclenchée par le cyclone Idai pose la question de la responsabilité de la communauté internationale.