Alors que les deux tiers de la population des moins de 50 ans sont infectés par l'un ou l'autre des virus de l'herpès, on ne sait toujours pas le soigner. Mais on sait calmer les crises et limiter les récidives.
Un an après le début de la crise sanitaire, des pistes ont été explorées tandis que d’autres ont été abandonnées. Notre tableau répertorie les principaux traitements envisagés ou utilisés.
Environ 20% de la population française serait porteuse du virus de l’herpès génital, qui se transmet par voie sexuelle. Et une fois contracté, celui-ci reste à vie dans le corps, malgré les traitements proposés.
Parce qu'elle a été et est encore utilisée à outrance, l'antibiothérapie est de moins en moins efficace. Des alternatives thérapeutiques sont à l'étude.