Si nous brûlons toutes les réserves de combustibles fossiles jusqu’à la dernière goutte, le taux de CO2 dans l’atmosphère pourrait s’envoler jusqu’à 2.000 ppm en 2250 préviennent des chercheurs. Du jamais vu sur Terre depuis le Trias. L’ennui, c’est qu'aujourd'hui, le Soleil brille...