Le sommet, qui s’est achevé samedi, a rendu opérationnel l’accord de Paris, mais échoué à engager une hausse des efforts. Les journalistes du « Monde » Audrey Garric et Simon Roger ont répondu, lundi, à vos questions lors d’un tchat.
L’Arabie saoudite, le Koweït, la Russie et Etats-Unis ont tenté d’édulcorer une référence au rapport historique du GIEC sur la nécessité de limiter le réchauffement à 1,5 °C.
Un rapport scientifique majeur non pris en compte, une forte présence des lobbies et du secteur privé dans les couloirs de la COP, des pays riches qui jouent la montre et préfèrent défendre leurs intérêts industriels dans un contexte international tendu, des ministres et un chef d’État...
La plupart des Etats réunis en Pologne pour la COP24 ne semblent pas prêts à faire de gros efforts pour réduire leurs émissions de gaz à effets de serre.