En dix ans, la part d'ENR dans les mix des réseaux de chaleur est passée de 26 à 50%. Un argument que saisissent Amorce et le SNCU pour demander aux pouvoirs publics un soutien plus fort, afin d'accélérer le déploiement de ce mode de chauffage.
À l'issue du groupe de travail sur la chaleur et le froid renouvelables, le Gouvernement annonce 25 mesures pour améliorer la compétitivité des réseaux, développer de nouveaux projets et augmenter le recours aux énergies renouvelables.
Les réseaux de chaleur industriels affichent des prix particulièrement bas. Quant aux réseaux alimentés par les renouvelables, ils bénéficient des subventions pour offrir des tarifs compétitifs.
Alors que les besoins énergétiques urbains explosent, le Pnue plaide pour les réseaux de chaleur et de froid. Deux aspects sont mis en avant : l'intérêt économique et l'efficacité énergétique qui limite les investissements à réaliser.
Alors que le développement des réseaux de chaleur à partir d'ENR et R est en retard par rapport aux objectifs, l'Ademe livre les clés pour multiplier les projets et accroître leur compétitivité. Cela passe notamment par la planification territoriale.