Editorial. La ratification par la Chine et les Etats-Unis de l’accord de Paris visant à endiguer le réchauffement climatique masque le surplace de l’Europe, enlisée dans des discussions de marchands de tapis.
Les deux pays se sont fixés des objectifs quant à leurs émissions de gaz à effet de serre, à un an de la conférence mondiale sur le climat prévue à Paris.
La relation de Pékin avec Bruxelles et Washington se caractérise par une rivalité sur la protection du climat, analyse l’économiste Guntram Wolff dans une tribune au « Monde ».
par Andrea Shalal
WASHINGTON (Reuters) - La première visite en Chine de la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, aura pour but de renouer les liens entre les deux premières économies mondiales.
Des responsables américains ont dit s'attendre à des discussions "franches" lors du...