Le fait qu’une fille soit victime de mutilation génitale est fortement conditionné par les pratiques en vigueur dans son groupe ethnique, car celles qui n’ont pas suivi la tendance peinent à se marier et à s’intégrer.
Vingt-quatre pour cent des parents des 12-15 ans se sont rués dans les centres ouverts à cette tranche d’âge et 18 % comptent le faire dès que possible. D’autres restent méfiants mais s’apprêtent à céder, face à la « pression sociale ».
Un trou noir "proche" de la Terre a été découvert, l'excision sera bientôt punie par la loi au Soudan, et le moustique tigre continue sa progression en France.
«C’est incroyable que 125 millions de femmes dans le monde soient atteintes de cette manière dans leur féminité», a déclaré ce vendredi matin la reine Mathilde durant sa visite au Centre médical d’aide aux victimes de l’excision (CeMAViE) du CHU Saint-Pierre à Bruxelles.
Choix du prénom, achat de vêtements, décoration de la chambre, préparation psychologique : une écrasante majorité de parents demande à connaître le sexe du fœtus à l’échographie dès que cela est possible.