Cette opération réunirait en une nouvelle « grande autorité indépendante » l’Institut de radioprotection et sûreté nucléaire, expert de la sûreté, et l’Autorité de sûreté nucléaire, chargée des décisions sur les centrales.
L'Autorité de sûreté nucléaire n'est pas sereine. Alors qu'elle doit faire face à des enjeux de sûreté majeurs, ses moyens restent restreints et la situation économique des exploitants n'est pas là pour la rassurer.
Le Parlement a définitivement adopté la loi fusionnant IRSN et ASN pour créer l'Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection. Et ce, en dépit des mises en garde de spécialistes de la sûreté nucléaire, partisans ou non de l'atome.
L'Autorité de sûreté nucléaire dresse un premier bilan de son plan de lutte contre les fraudes. Elle signale que 22 irrégularités lui ont été signalées en six mois via son nouveau dispositif dédié aux lanceurs d'alerte.