« Les villes doivent redevenir des éponges »

Le Monde, le
« Les villes doivent redevenir des éponges »
Face aux catastrophes naturelles, l’objectif n’est plus seulement de se protéger, mais de connaître le risque, de l’accepter et de s’y adapter, indique Isabelle Thomas, professeure d’urbanisme à l’université de Montréal.
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