Une étude de l’ULB, publiée dans la revue eLife, explique pour la première fois pourquoi les cellules ß (bêta) mais pas les cellules alpha sont ciblées et détruites par une réponse auto-immune en cas de diabète de type I.
L’amélioration de la prise en charge au cours des dix dernières années a complètement modifié le pronostic de cette maladie auto-immune à long et moyen terme.