Les montants en jeu sont astronomiques. Selon un document de travail du Roosevelt Institute, publié en mai, les entreprises cotées américaines ont dépensé 6 300 milliards de dollars entre 2010 et 2019 dans les « share buybacks ».
Alors que, dopées par les plans de soutien des Etats, de grandes entreprises dépensent des milliards d’euros pour faire grimper leurs actions en Bourse, les revendications salariales se multiplient.
par Claude Chendjou
PARIS (Reuters) - Les principales Bourses européennes ont terminé en baisse mardi, sur de faibles variations en l'absence des investisseurs à Wall Street, la séance ayant été dominée par l'attentisme alors que seront publiés en fin de semaine plusieurs indicateurs...