« Le bio est bon pour le climat, la santé et la biodiversité. Le message passe, mais régresse au moindre signal sur le prix »
Le Monde, le
01/06 à 11h15
Du fait de la hausse spectaculaire des prix alimentaires, bien au-delà de l’inflation générale, la part du bio recule. Cela démontre que les modifications du comportement des consommateurs semblent plus faciles à effectuer quand la croissance et le pouvoir d’achat s’évanouissent, note Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
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