Depuis la fin des quotas et des prix garantis en 2017, le sort de la filière française est suspendu aux cours mondiaux du sucre et à la concurrence des géants du secteur.
Les betteraviers estiment qu’il n’existe pas d’alternative viable aux néonicotinoïdes, que ce soit au niveau environnemental ou de l’efficacité contre les pucerons verts.