Eparpillés sur une zone d'environ 1,5 hectare autour du crash, les débris de l'A320 qui s'est écrasé le 24 mars dans un secteur escarpé des Alpes du Sud ont du être transportés par hélicoptères...
AVIS D'EXPERTS - Deux associations réunissant psychiatres et chercheurs appellent à ne pas accuser les antidépresseurs après le drame du crash de l'A320 de Germanwings, vraisemblablement causé par un pilote suicidaire.
150 personnes se trouvaient à bord de l'A320 qui s'est écrasé dans les Alpes mardi. L'existence de tout survivant ayant été écartée, l'heure est désormais à l'identification des corps.
Les canidés, farouches et méfiants, ne sont pas « attirés par l'odeur des corps des 150 victimes », estiment des experts de la nature, contredisant les informations de BFM-TV.
Un an après la tragédie, les médecins n'ont aucune intention de suivre l'avis des enquêteurs, qui dans leur rapport sur l'accident de l'A320, ont plaidé pour la levée du secret médical pour les pilotes présentant un danger.