Aucun vaccin ou traitement contre la fièvre hémorragique due au virus Ebola n'est à l'heure actuelle homologué par les autorités de santé. Mais plusieurs pistes sont explorées par la recherche.
Une étude publiée jeudi montre qu’au moins trois souches du virus, responsables d’infections respiratoires aiguës sévères, circulent entre le dromadaire et l’homme. Un vaccin vétérinaire pourrait limiter la menace.