Les bombes non explosées des deux guerres mondiales deviennent de plus en plus dangereuses et sensibles aux chocs

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Les bombes non explosées des deux guerres mondiales deviennent de plus en plus dangereuses et sensibles aux chocs
À l’échelle mondiale, des millions de tonnes de bombes non explosées issues des conflits passés subsistent dans la nature. Une étude portant sur des obus de la Seconde Guerre mondiale vient de conclure qu’une substance explosive connue sous le nom d’amatol devient de plus en plus sensible aux chocs au fil du temps qui passe. Ces munitions deviennent alors extrêmement dangereuses à manipuler lorsqu’il faut les éliminer.
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