De forts soupçons pèsent sur le rôle des perturbateurs endocriniens dans l’augmentation de ces pathologies.
Une étude précise la fréquence des troubles de la santé reproductive et les fortes disparités géographiques.
Mauvaise qualité de sperme, malformations génitales, cancers des testicules, puberté précoce... L'agence nationale Santé Publique France alerte sur ces pathologies pouvant être liées aux expositions aux perturbateurs endocriniens.
Chaque année, un millier de filles et une centaine de garçons sont touchés par cette pathologie rare.
Une étude met en évidence un lien entre l’avancée des premières règles et l’exposition in utero à des molécules utilisées en cosmétique.