Selon les informations du « Monde », le site a rejeté dans l’atmosphère en novembre un composé potentiellement cancérogène dans des quantités qui dépassent plus de 75 fois la limite autorisée.
Des rejets de bromopropane, substance potentiellement cancérogène, atteignent jusqu’à 190 000 fois les normes sur le complexe chimique de Lacq (Pyrénées-Atlantiques).
Le groupe pharmaceutique a diligenté une enquête interne « pour mieux comprendre les causes et l’historique de la situation ». Des rejets de bromopropane 190 000 fois la norme ont été relevés en avril.
Selon les informations du « Monde », une plainte a été déposée pour mise en danger d’autrui par la mère de deux enfants autistes. Elle n’a jamais pris de Dépakine, cet antiépileptique responsable de malformations et de troubles chez des enfants exposés in utero, mais a été...