Les deux vaccins à vecteur viral représentent 30 % des livraisons attendues d’ici à la fin juin. Sans eux, les objectifs de vaccination à court terme ne pourraient pas être atteints.
Le dernier des vaccins autorisés en France, perçu comme une alternative au « mal-aimé » AstraZeneca, a l’avantage d’être unidose. Mais son déploiement démarre doucement.
Les recommandations sur ces deux vaccins à adénovirus peuvent varier considérablement. Dans certains pays, ils sont ouverts à tous. D'autres ont des conditions très strictes.
L’Agence européenne du médicament se penche sur les deux vaccins et leurs éventuels liens avec des problèmes vasculaires. Leur efficacité reste posée en attendant une possible notification pour effets secondaires.