Le président de la République n’appréhende plus seulement le Covid-19 comme un fléau à combattre. Plus l’élection présidentielle approche, plus il l’utilise comme une arme à fragmentation, au risque d’essuyer un puissant tir de riposte, explique, dans sa chronique, Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».